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En 2016, ce village a abandonné la pratique
des mutilations sexuelles féminines.
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Des femmes apportent les ingrédients pour le dîner de la cérémonie.
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Une jeune villageoise de Sabouciré N’Di.
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Des jeunes dansant pour accueillir les participant·e·s de la cérémonie d’abandon des mutilations sexuelles féminines.
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Le chef du village et un doyen du village accueillant et parrainant la cérémonie.
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Les femmes rentrent après une longue nuit de danse avant la cérémonie.
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Sada Coulibaly a perdu deux de ses filles des suites d’une mutilation sexuelle.
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Coumba Kante, exciseuse dans un village qui est en cours d’abandon de la pratique de l’excision.
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Un père et ses deux filles, ayant frôlé la mort après une excision.
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Préparation du couscous au cours de la nuit précédant la cérémonie.
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Un jeune garçon sert le café aux aînés pendant la cérémonie.
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Les enfants du village de Sabouciré N’di.
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Des femmes préparent la sauce épicée au poivre.
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Une doyenne d’un village qui a désormais abandonné la pratique des mutilations sexuelles féminines.
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Les griots/communicateurs traditionnels, dont le rôle s’apparente à celui de conteur et médiateur, sont souvent impliqués dans les actions de sensibilisation contre les mutilations sexuelles féminines.
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Des jeunes originaires de différents villages quelques instants avant la cérémonie.
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Une animatrice d'AMSOPT et une villageoise dansant la veille de la cérémonie.
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Le jour de la cérémonie, une jeune femme protège sont enfant des rayons du soleil.
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Deux femmes du village
de la cérémonie se coiffent.
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Un jeune homme fait sa toilette dans le fleuve Sénégal, près de Kayes.
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